Habiter heureux dans les villes, bourgs et villages
Un sujet d'adaptation des programmes aux nouvelles données climatiques, économiques et sociales
Un sujet d'adaptation des programmes aux nouvelles données climatiques, économiques et sociales
Depuis 40 ANS, qu'observons-nous ?
- Les métropoles se sont renforcées avec les nouvelles compétences régionales mais aussi avec la mise en service des premières lignes de trains à grande vitesse TGV (PARIS LYON 1981) et leur développement à l'échelle nationale et européenne ainsi que le fort développement du réseau autoroutier
- Les villes dites moyennes se sont alors retrouvées peu à peu délaissées au profit de ces développements métropolitains par le contournement des réseaux autoroutiers.
- La démographie française post baby-boom a considérablement changé, tout comme la composition et la taille des familles.
- Le rapport au travail a fortement évolué avec l'arrivée des 35 heures et le développement de l'Internet dans les années 2000 et avec la tertiarisation de l'activité, le développement des services et des loisirs face à la mondialisation des échanges.
- Le rapport locataires-propriétaires a également beaucoup évolué depuis 1980 avec le soutien des pouvoirs publics à la personne (PAP, APL,...) et aux particuliers bailleurs (dispositifs de défiscalisation successifs) puis avec la baisse des taux d'intérêts et la libération du crédit, contrariée par le récent retour de l'inflation.
- L'habitat individuel s'est considérablement développé sur tout le territoire national en périphérie des villes au- delà des faubourgs et des grands ensembles d'habitation, entraînant un phénomène sans précédent de péri- urbanisation qui aspire également l'implantation de nouvelles entreprises commerciales, de nouveaux bâtiments d'activité et de nouveaux équipements publics et privés.
- Les entrées et périphéries des villes se sont banalisées et décontextualisées dans le cadre du zonage réglementaire et de la juxtaposition des fonctions.
- La mixité sociale s'est renforcée depuis la loi SRU et la création de l'ANRU, mais les tensions restent soutenues dans certains territoires de forte densité.
Ce phénomène de développement péri-urbain s'est ainsi accéléré,conduisant souvent à une désaffection des centres- villes. Au cœur des agglomérations, la densité d'habitation, la pollution, le coût pour y habiter, les effets du réchauffement climatique n'ont fait que renforcer les départs d'habitants vers les FRANGES DES VILLES.
- Les métropoles se sont renforcées avec les nouvelles compétences régionales mais aussi avec la mise en service des premières lignes de trains à grande vitesse TGV (PARIS LYON 1981) et leur développement à l'échelle nationale et européenne ainsi que le fort développement du réseau autoroutier
- Les villes dites moyennes se sont alors retrouvées peu à peu délaissées au profit de ces développements métropolitains par le contournement des réseaux autoroutiers.
- La démographie française post baby-boom a considérablement changé, tout comme la composition et la taille des familles.
- Le rapport au travail a fortement évolué avec l'arrivée des 35 heures et le développement de l'Internet dans les années 2000 et avec la tertiarisation de l'activité, le développement des services et des loisirs face à la mondialisation des échanges.
- Le rapport locataires-propriétaires a également beaucoup évolué depuis 1980 avec le soutien des pouvoirs publics à la personne (PAP, APL,...) et aux particuliers bailleurs (dispositifs de défiscalisation successifs) puis avec la baisse des taux d'intérêts et la libération du crédit, contrariée par le récent retour de l'inflation.
- L'habitat individuel s'est considérablement développé sur tout le territoire national en périphérie des villes au- delà des faubourgs et des grands ensembles d'habitation, entraînant un phénomène sans précédent de péri- urbanisation qui aspire également l'implantation de nouvelles entreprises commerciales, de nouveaux bâtiments d'activité et de nouveaux équipements publics et privés.
- Les entrées et périphéries des villes se sont banalisées et décontextualisées dans le cadre du zonage réglementaire et de la juxtaposition des fonctions.
- La mixité sociale s'est renforcée depuis la loi SRU et la création de l'ANRU, mais les tensions restent soutenues dans certains territoires de forte densité.
Ce phénomène de développement péri-urbain s'est ainsi accéléré,conduisant souvent à une désaffection des centres- villes. Au cœur des agglomérations, la densité d'habitation, la pollution, le coût pour y habiter, les effets du réchauffement climatique n'ont fait que renforcer les départs d'habitants vers les FRANGES DES VILLES.
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